Archives par mot-clé : journalistes

Tous mes compliments !

Tous mes compliments aux enfumeurs de tous bords (élus, journaleux etc…) qui ont réussi le tour de passe-passe de faire porter le débat « retraites » sur l’ « ÂGE » du vieux /de la vieille / du vieux de la vieille (64 ! Nan 63 ! Nan 65 ! Nan 68 ! Nan 60 ! Nan ! Si ! NanNan… Sissi !) alors que la vraie question est : PENDANT COMBIEN D’ « ANNUITÉS » les papymamies auront dû ramer sous le ciel de la démocratie participative pour être autorisé(e)s à vivre leur Alzheimer peinard(e)s ? Et là on se marre because c’est le gros Flanby néo extrême gauchiste cumulard de sa grand-mère, en passant par la Touraine avec ses sabots dondaine qu’a enfoncé le dernier clou en date sur le cercueil du droit à vieillir OKLM plus d’une semaine ou deux : 43 ans de chaîne ! Pour rappel le Nain Jaune Menteur récemment condamné pour plein d’embrouilles crados avait fait planter le clou précédent par Fillon l’Escroc à 41 TTC ! La vieille Mite et ses combines vicelardes avait quant à lui, du bout de ses lèvres sensuelles, laissé le faux mou Balladur planter celui des 40 sur ses mirifiques 37,5 du temps des cerises de sa rose au trou-de-balle.

Conclusion de notre cellule fact-checking : QUEL QUE SOIT L’ÂGE auquel nos proxénètes à 15 000 € mensuels décideront de fixer le droit des ieuves  à essayer de pas mourir en sortant de leur pot d’adieu, en 2025 FAUDRA AVOIR BOSSÉ 5,5 ANS DE PLUS QU’EN 1982. On se demande où on en sera en 2221 *

Tous mes compliments, vraiment ! À partager avec les voteux. Les journaleux, on va dire qu’ils sont pas nés futefutes et qu’ils ont une famille à nourrir.

* Putain! Qu’est-ce que c’est bien « MARS 2221, roman » ! J’en suis déjà au chap 15…

eau my god !

Décidément, cette putain de flotte – tellement bienvenue dans le pastis, un peu moins dans les caves, voire les rez-de-chaussée ravagés par les crues – semble poser de graves problèmes existentiels à nos fiers journalistes. Lesquels ont pourtant d’autres soucis en tête « aujÔrd’hui » comme ils disent. Savoir : flatter outrageusement le chauvinisme maladif de leurs compatriotes, en parallèle à un étouffement généralisé de toute vie politique – les ordres sont les ordres.

Mais revenons à l’eau. Après avoir été « liquide », au mépris de toutes les définitions recensées dans les dictionnaires ( lire ici « eau liquide et solides conneries » ),  la voici « baignable »  ou pas. Ainsi, grâce aux Jeux Olympaques (pas pu résister), après Claire Michel nous nous voyons confirmer que se baigner dans une eau non « baignable » « peut potentiellement » ( un must  radio télévisuel ) se révéler « dommageable » (idem) pour la santé.

Hé les pipelettes incultes, qu’il soit bien clair (à la différence de la Seine à Paris) que la particule  « able » est un « suffixe formateur d’adjectifs à partir de verbes transitifs directs et exprimant la possibilité passive (« que l’on peut » + infinitif) »* . Exemples : « respecter » donne « respectable » et signifie « que l’on peut respecter » ( adjectif qui ne s’applique que très très rarement aux média), « avouer » => « avouable », « désirer » => « désirable », « critiquer » => « critiquable », « redouter » => « redoutable », etc… etc…

C’est donc complètement con (et laid) de dire que quelque chose est « dommageable », (verbe « dommager » ?) mais quand on en arrive à l’« eau baignable » ( = une eau que l’on peut baigner ???), l’auditeur est en droit d’exiger des dommages et intérêts pour son oreille écorchée pire que celle d’âne bâté (malgré son prénom de canard) d’un gros cinglé bien connu outre Atlantique.

Au passage, les cèlzéceux qui causent dans le poste, plutôt que « ramener » vos breloques merdeuses « à la maison » (ça aussi c’est gratiné comme racolage débile), si vous pouviez vous contenter de les « rapporter », on y gagnerait – sinon en fouillis sur les étagères – un semblant de parler correct.

 

 *  Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales