Nos journalistes, ces incompris ! (et pour cause)

Loin de moi l’idée que quelque problème que ce soit puisse trouver le moindre commencement de début de solution dans la violence. En particulier la violence sur un être sensible.

Ce qui, en passant, justifie toutes les violences destructrices du monde lorsque dirigées contre les lieux de violences sur les animaux (abattoirs, labos, zoos, etc…).

Mais revenons à la violence sur être sensible. Ou assimilé. Sur journaliste, pour être précis.

Je suis foncièrement, totalement et absolument contre.

Cela posé, rien n’empêche un esprit scientifique comme le mien de tenter de comprendre, SANS EXCUSER, le pourquoi du comment on en arrive à de telles extrémités.

Surtout que c’est vachement facile . Si une écrasante majorité de la population manifestant pour une cause ou une autre ne me semble pas capable de faire volontairement bobo à son prochain, il apparaît tout aussi indéniable qu’une écrasante majorité de la population journaleuse a, elle, gagné sa carte de presse au loto.

Il est un fait que cette profession abrite la plus grande concentration de lèche-culs du pouvoir au mètre carré. Doublés de fameux crétins qui ne doivent pas souvent se relire. Comment peut-on sérieusement colporter des âneries comme « Jon-Jècques Goldman est la personnalité préférée des Froncés (prononciation téléradiophonique moderne1) ou le « salaire moyen des mêmes Froncés est de 3000 euros » ou « la retraite moyenne de 2000 ! »2 Sans parler, le cas échéant, du nombre de manifestants directement pompé chez radio-keufs. Ou, dans la foulée, évoquer les « sondages BFMTV-Paris Match » qui te refilent, au choix, 5% de progression à Son Emperozité et à ses laquais barbichonnés ou 2% de progression de « poire d’achat » (prononciation made in JJ Bourdin) sur un claquement de doigts !

Bref les journaleux se torchent avec la vérité mais, après tout, la vérité est-elle de ce monde ?

Je ne prétendrai pas pouvoir répondre à cette question. Tout ce que je sais, c’est que j’aime écrire. J’aime parler. Avec des mots. J’aime et respecte les mots et les phrases qu’on fabrique avec. J’essaie de ne pas faire honte aux enseignants qui me les ont transmis. C’est pourquoi j’en veux terriblement aux journaleux, dont le métier est de les emprunter, nos mots chéris, du matin au soir, au vocabulaire que nous avons en partage en se fichant complètement de l’état dans lequel ils nous les restituent.

Quelques exemples :

Ce matin même (21/01/19, 7h55), sur France-Inter, j’ai entendu Léa Salamé demander à son interlocuteur : « – Vous lui réponDERIEZ quoi ? ». Si cette inconditionnelle du charabia pouvait au moins cesser d’enrober de « à vous » pédants autant qu’inutiles ses souhaits de « belle journée » ( à la radio/télé le « beau » a remplacé le « bon », c’est comme ça3), ce serait tellement beau pour mes noreilles.

Sur France-Inter toujours, même heure, une certaine F. Paracuellos a décrété que « samedi » se prononcerait dorénavant « Saint M’di ». Plein de bavards sur plein d’autres radios/télés lui ont direct emboîté le pas. Trop cool « St M’di » ! Priez pour nous, pauvres auditeurs.

Ne parlons pas de ce malheureux « aujourd’hui » (souvent précédé –allez savoir pourquoi – d’un pathétique « au jour d’ ») dont la prononciation fluctue entre « aujeurd’hui », « aujôrd’hui », « oujard’hui », etc…. Le massacreur en chef, l’inénarrable Marc Fauvelle, au rhume (?) persistant, sévit, quant à lui, comme pas mal d’autres lèche-bottes dyslexiques, le matin entre 7 et 9 sur France info.

On ne compte évidemment plus les « ceci dit » chers à Mimi Où-est-le-bec ? ( ex p270 de son dernier torchon).

Et ce bon vieux « discours indirect » avec lequel nos instits se cassaient le cul à nous faire jongler ? Il semble avoir presque complètement disparu des ondes. Dorénavant, même sur France Culture, on nous « essplique » « qu’est-ce qu’il se passe » et surtout pas « ce qui se passe », trop vieillot, je suppose, ha ha !

Bref, entre les « beaucoufff », les « arrivéyyyes », les « hnn » pour se lancer, les « hein? » afin de mêler sympathiquement l’auditeur à la conversation et les « barres symboliques » des 10, 20, 30% (putain mais où ils voient un symbole, ces écervelés ?), O. Truchot en personne (mais alors personne, aucun doute là-dessus ! ha ha), de BFMTV,  trouverait que « comme même », c’est bien « dommageable » (comprendre : « quand même, c’est bien dommage »)de faire subir pareils outrages à notre langue française de souche inaliénable et sacrée.

Bon, j’èrrête lè pèrce que je vais encore me faire surprondre par l’heure de l’apéroyyye. De toutes mègnères, faudrait plusieurs tôôômes (!) d’un dictionnaire en épaississement constant pour recenser tous les écorche-oreilles de ces microphonisés à la légère et inconsidérément.

Allez, « hnn » bisous « à vous », « hein? » mais faisez comme même tontion sur la route. Y è pès mèl d’ombouteillèges … bref c’est compliqué4  è cause de lè neige.

 

1 [an] devient [on]/ Besançon = « Besonçon », intermittent = « intermittont », gouvernement= « gouvernemont », envoûtement= « onvoûtemont » etc…

[a] devient [è]/ manipulation= « mènipulètion », animal = « ènimèl », trou-de-balle= « trou-de-bèlle », et tout « è l’èvenont »

2 « La moyenne de n valeurs c’est le quotient par n de la somme des n valeurs » :

A gagne 30000€/mois

B gagne 800€/mois

« Moyenne » de leurs salaires= 30000+800 : 2 = 15400€. B n’a vraiment pas à se plaindre, quoi merde, il gagne 15400€ en moyenne !

3 La reine du genre c’est quand même l’hallucinée aux mollets entre parenthèses des infos de 19h30 sur FR3 – je sais plus son nom, tant mieux – qui termine toujours son solo de fayotage par un rapide  « Très belle soirée à vous, bonsoir et à demain » !!!

4 «  Compliqué » : que feraient nos amis journalistes sans ce joker imparable !( entendu ce matin 11 fois en ½ heure sur France-Info contre 13 « oujard’hui » de l’ahuri M. Fauvelle )

 

Le Grand Charles, Gutenberg, le lobby de l’édition et les autres…

 

Il fut un temps où, de château en château, les troubadours (« trouvères » au nord de la Loire) s’en allaient contant (et pas toujours contents du gîte et du couvert qu’ils se voyaient offrir) les exploits du Grand Charles (Carolus Magnus pour les latinistes) et de son neveu Roland.

Puis, lassé des grèves à répétition des intermittents du spectacle, l’on décida de se raconter les exploits du Grand Charles (Carolus Magnus pour les latinistes) et de son neveu Roland tout seul. L’on apprit à lire et l’on misa sur le parchemin, au prix de quelques souffrances pour les petits veaux qui laissaient leur peau dans l’affaire. Parchemin sur lequel on inscrivit d’une plume d’oie alerte (la plume parce que l’oie, côté foie…) les exploits du Grand Charles (Carolus Magnus pour les latinistes) et son neveu Roland.

Les troubadours (« trouvères » au nord de la Loire) firent la gueule mais écrasèrent le coup, apprirent à écrire et se recyclèrent tant bien que mal dans la littérature.

Une poignée de siècles plus tard, un trouble-fête du nom de Johannes Gutenberg  inventa l’imprimerie. Nos plumitifs, ex « troubadours » (« trouvères » au nord de la Loire) tirèrent une fois encore une gueule longue comme ça. Mais on n’arrête pas le progrès et ils se firent tant bien que mal à l’idée de partager les bénefs que leur rapportait le récit  des exploits du Grand Charles (Carolus Magnus pour les latinistes) et de son neveu Roland, avec le lobby des éditeurs. Ces derniers, malins comme des singes, avaient « esspliqué » (dixit France Culture) aux créatures de J.Gutenberg que, en tant que travailleurs manuels, ils avaient besoin d’être coachés par des êtres pensants.

Mais on n’arrête pas le progrès et, voici quelques décennies, l’informatique a rendu l’imprimerie superfétatoire, pour ne pas dire inutile. On peut dorénavant, tenez-vous bien, conter les exploits du Grand Charles (Carolus Magnus pour les latinistes) et de son neveu Roland sans faire appel à la magie des imprimeurs ni avoir à déprimer les défenseurs de la forêt primaire (ah oui j’ai omis de préciser qu’entre temps le vélin des veaux) (rien à voir avec Vaulx-en-Velin) avait cessé d’être indispensable à la transmission, aux siècles des siècles, desdits exploits) (ni de ceux, nettement plus sacrés selon les spécialistes, de Moïse et sa bande d’allumés mais ceci est une autre histoire).

Mais d’aucuns ont horreur de tout ce qui touche à leurs petites habitudes. Ah ! Le crissement subtil du papyrus ! Ah , le parfum de l’encre fraîche ! Comment ça, ce qui compte ce sont les exploits du Grand Charles (Carolus Magnus pour les latinistes) et de son neveu Roland et la manière de les narrer qui importent ? Vous rigolez, les mecs ! Ce qui compte, c’est le feuilletage des pages par nos index beurrés, le matin au p’tit déj’! Et la couverture ! Ah, la couverture cartonnée !  Et la poussière qui s’accumule sur les rayons des bibliothèques ? Et le pilon ? À quoi il va servir, le pilon si on n’imprime plus ? On a imprudemment aboli la guillotine, au point de ne plus savoir que faire de nos Gilets Jaunes aujourd’hui, mais le pilon qui écrase les derniers espoirs d’un auteur de voir son œuvre un jour éclore aux yeux du public, nous faisant gagner un peu de place dans les rayonnages des libraires ? Faudra-t-il l’abolir, lui aussi ?

Non, croyez m’en, braves cons de lecteurs juchrémans. La culture est une est indivisible. Et elle passe par le livre. Le livre imprimé et aucun autre , émanation jalouse de la Parole Divine. Ne dit-on pas les « religions du Livre »(avec une majuscule) ? Quel mécréant se risquerait à parler des « religions du e-Book » (même avec une majuscule) ? Un peu de sérieux, voulez-vous !

Et notre bon vieux lobby des éditeurs, dans tout cela. Comment pourrait-il survivre à pareille diablerie si on n’y mettait rapidement un terme ? Ecoutez  les cris déchirants d’Albin, entendez les plaintes de Robert : « Ah ! Le bruissement délicat de la feuille que l’on écorne pour savoir où on en est ! Ah, la bonne odeur de moisi de l’encyclopédie en 25 tomes qu’on na n’a pas ouverte depuis qu’on l’a héritée de la tante Louise ! Ah, la toile d’araignée qui effraie la bibliothécaire à peine remise de sa dernière chute d’escabeau, pour la plus grande gloire du Livre Imprimé ! »

Ok, braves cons de lecteurs juchrémans ! Allez-y ! Continuez à dépenser le triple de ce que vous coûterait, au format numérique,  le même récit des exploits du Grand Charles (Carolus Magnus pour les amis) et de son neveu Roland. Continuez à sniffer votre papelard pétrolisé à mort et votre encre fraîche comme mon cul ! Continuez à vous laisser rouler dans la farine par ces arnaqueurs de proxénéditeurs qui reversent généreusement au descendant du troubadour (« trouvère » au nord de la Loire) 10 % du bénéfice de son travail obscur. D’autant plus obscur et flippé – et naze il faut bien le dire , s’agissant de certains troubadours  (« trouvères » au nord de la Loire)  – au hasard M. Houellebecq , sauf que , bizarrement, le beau légionnaire tourne à largement plus que 10% depuis son succès incompréhensible.

Et surtout bonne ânerie 2019, les Juchrémans ! Que l’arôme enivrant du calendrier des pompiers vous protègent des attaques vicieuses d’une évolution qui, quand on voit le résultat, aurait gagné à ne pas nous sortir de nos bonnes vieilles cavernes !

Bisous numériques.

Jon-Jècques Bolmane*

 

Une fois n’est pas coutume (rire), je vais vous parler d’un truc sans importance. Et en plus , va falloir sortir la calculette. Diviser  200 000 par 66 000 000 et multiplier le résultat par 100 (un genre de règle de 3) . Bon allez, je vous file la réponse : + ou – 0,3 %

Explication. Pour cèlzéceux qui suivent les infos, les bpr* répertoriés sous l’AOC « Français » viennent d’être dénombrés : autour de 66 millions (66 000 000) d’individus en + ou – bonne santé (50 % de spermatos en moins, tout de même, au fond des testicules de ceux qui sont encore équipés de ces gadgets vintage mais là n’est pas mon propos).

Maintenant, deux cent mille (200 000) c’est le tirage grand maximum d’1 feuille de chou à la mords-moi qui crève de soif dans le désert des hebdomadaires inutiles (pléonasme), rachetée, il y a peu, avec une vingtaine d’autres par Arnaud Lagardère, fils unique et préféré de Jean-Luc qui avait, en son temps, fait la fierté de la famille par la thune formidable que lui avait rapporté(e? je sais plus, j’aurais jamais dû me lancer dans le gamble du » cod placé avant ») la vente en gros d’armes de guerre à grand spectacle).

Il se trouve qu’une fois par an, à l’occasion de la nouvelle année, le « JDD » (ex « Journal du Dimanche ») – puisque c’est  le nom du sous produit des fonds de tiroir de la presse à 2 balles en question – publie une connerie championne du monde toutes catégories qu’il fait passer pour le résultat d’1 prétendu sondage effectué auprès du gratin de ses lecteurs.

Il s’agit de la désignation de – accroche-toi Jeannette – LA PERSONNALITÉ PRÉFÉRÉE des Phroncés !

Pour la 8ème année consécutive, ze ouineur is… Jon-Jècques Bolmane !

Qu’ Arnaud La Garde Barrière soit cap de soudoyer 1 échantillon de 0,3 % de la population phronçaise trié sur le volet en vue de lui faire dire des âneries, personne n’en doute.

Mais que l’intégralité des radios/télés/réseaux sociaux et autres commères assermentées relaient une arnaque pareille, il est là le vrai miracle de Noël. Ou pas, en fait.

Bisous.

 

* bipèdes à poil ras

Poire d’achat et pommes que nous sommes*

 

Coucou, les Juchrémans ! Je me suis dit que j’allais pas attendre 2019 pour enfin vous faire part de ma totale désapprobation touchant à la formulation d’une revendication hélas de jour en jour plus justifiée. Relayée avec délices, sinon carrément inventée par les média (sans « s » car déjà pluriel de médium),  je vous parle de la plainte déchirante des mécontents modernes de voir leur POIRE D’ACHAT fondre comme neige au soleil. Leur poire d’achat ! Et pourtant !

Pourtant, même prononcé en bas jijibourdinien, ce prétendu désir de se voir autorisé à claquer plus de thune sans autre précision (poire acheter what ?)me semble pas refléter les besoins réels d’un peuple aux poches vides. Si des millions de gens ont besoin de pognon c’est pour :

PAYER leur loyer

PAYER leurs notes de gaz, d’eau et d’électricité

PAYER leur essence ou leurs abonnements RER pour les veinards qui ont un boulot

PAYER le toubib, le dentiste, l’ophtalmo, l’hosto, les pompes funestes etc…

Conclusion parce que parler ça donne soif et que c’est bientôt l’heure de s’acheter de l’apéro, à l’avenir, les pipelettes qui voudront me faire plaisir éviteront de se répandre sur la diminution, sinon la perte de la poire d’achat des Phroncés et verseront leurs larmes directement au profit de leur poire de PAIEMENT. Ce qui change pas mal le goût du fruit, faites-moi confiance !

 

barème tes conneries (je vous en ressers une tranche ?)

Salut les Juchrémans ! Depuis que je tweete tante et peluche  ( @nouveau_polar  ) , je ne trouve plus une minute pour repasser par la maison dire bonjour. Histoire de me faire pardonner, c’est depuis franckyvonrichard.com  que je m’adresse au grand barbu dans la tourmente, à son Joe Dalton d’emperozité à 2 balles et à tous les gilets jaunes devant marron derrière qui se gèlent les couilles sur leurs ronds-points.

Veuillez, svp, cesser votre dialogue de sourds plus qu’improductif en termes de mobilier urbain, grenades lacrymogènes et frais d’hospitalisation !

Ok, ni les uns ni les autres avons inventé l’eau tiède. Les aventures des 3 Petits Cochons d’Abraham nous ont tellement pris la tête au cours de ces derniers millénaires que, même si nous n’étions pas nés impuissants du neurone, nous n’aurions pas pu faire autrement que le devenir. Issu de la même culture abêtissante et castratrice que vous, je suis le premier étonné d’avoir une remarque pas trop con à vous soumettre.

Un jour, l’un d’entre nous, un peu moins atteint que les autres, a eu une idée qu’elle était bonne. Chacun participerait à la cagnotte générale permettant de se soigner, d’assurer ses vieux jours et, accessoirement d’apprendre à lire et à écrire gratos à ses chiards, SELON SES MOYENS.

Sauf que, aussi sec, un autre d’entre nous, bien plus atteint que les autres, celui-là, a inventé les TRANCHES.

 

 

Alors, ça c’était con. Très très con. Très très con et surtout très très injuste et très très inégalitaire. Exemple :

Le mec qui prend 27000€/an lâche  3780€

Le mec qui prend 28 000€/an lâche 8400 €

Forcément, le second a tendance à voir son élan égalitaro-fraternel plonger un chouïa. Autrement dit, nos « classes moyennes supérieures » s’insurgent tandis que nos « classes moyennes inférieures » s’interrogent sur l’intérêt de ramasser la poignée d’euros supplémentaires qui leur ferait payer le double d’impôts. Quand on sait que 70% de la population juchrémane phronçaise estime appartenir à la classe moyenne, ça fait pas mal de mécontents.

Mécontents au point d’appuyer les revendications des semi clodos de la « 1ère tranche » qui, bien qu’ils ne payent pas d’impôts, raquent leur bifteck aux hormones, leur gas-oil cancérigène et leurs légumes enrichis aux pesticides le même prix que le pauvre riche de la « 5ème tranche » à qui, sur un revenu annuel de 160 000€, on va oser en prélever 72 000 (il ne lui reste plus que même pas 90 000 maigres euros annuels ! Un vrai scandale !). Le même pauvre riche qui l’a saumâtre de constater que Carlos Ghosn (par exemple mais cette vérole diplômée qui bénéficie actuellement des attentions marquées de nos amis Japonais n’est qu’un exemple entre mille) qui tourne autour des 16 000 000€/an (=100 fois plus que le pauvre riche) ne cotise pas plus que  lui. Allons enfants de la patrie, c’est qu’ ç’ bordel ?

Conclusion, en une hémo comme en mille, le trou-de-balle d’un Juchréman n’a jamais été aussi douloureux qu’ « ôjôrd’hui » (comme on dit sur France Culture et sur France Info, demandez à Marc Fauvel, grand adepte du fayotage intégral). Aucun prophète judaïque, chrétien ou musulman, pourtant experts en arnaques chrématistiques aurait pu inventer une embrouille comme les « tranches d’impôts ».

Normal, ça fait perdre une thune pas possible à son inventeur.

Quand j’aurai un moment, je vous « esspliquerai c’est comment » (comme on dit sur France Culture et sur France Inter, belle journée à vous, surtout le Saint M’di) que, armé d’une calculette à 10 €, on peut sauver la raie publique et passer un Noël tranquille.

Disons celui de l’année prochaine passque là tout de suite, j’ai pas le temps et vous êtes fatigués. Bisous.