Au zour le zour

– Phroncèses, Phroncés ! Comme promis ze vous tiens au zour le zour au zus de mes essploits diplomatiques qu’ils m’empèssent de venir m’esscuzer devant vous d’avoir rien branlé pendant 5 ans sauf booster les bénefs des marçands de mizère.

Cet après-midi z’étais au téléphone avec le prédant Poutine qui m’a envoyé cier et c’est bien normal en tant que prédant d’une raie 31 fois plus poilue que la nôtre (17,13 millions k2 vs 543,940 k2 =). Demain matin le prédant Biden m’enverra cier pour une raizon analogue (9,834 millions km²) et demain après-midi rebelotte avec le prédant de la raie cinoize (9,597 millions km²). Sinon pas de souci ze vous protèze à mort les cèlzéceux. Zuste, comme avec Nono-l’Écrivain-Coquin on a déclaré la guerre éconocomique à Vlad-le-Tyrantanplan, l’hiver proçain couvrez-vous bien les testicules si vous voulez que la Phronce elle reste n°1 au grand concours de l’Europrocréacion. Vive la raie, vive la Phronce.

Bêêê gruiii coincoin glouglou meuh cot cot codêêêt

Moi, cochon à jambon, rillettes et saucisson, je me demande si je préférerais être égorgé par un gentil Ukraignos ou un méchant Ruskoff.

Nous autres, agneau à côtelettes, gigot et cervelle cuite dans le beurre, veau à ris, escalope et blanquette, bœuf à entrecôte persillée, hamburger ou steak dans l’araignée (= trou de balle ) on se demande si on préfèrerait être véhiculés direction le camp d’extermination dans un méchant camtar ruskoff ou une gentille bétaillère ukraignos. Tiens et moi, poulet à ailes grillées à souhait, blanc, cuisse et croupion (= trou de balle) et moi, dinde à rôti et sauté et nous, canard à magret et oie à foie gras truffé on se demande pareillement si on aimerait mieux être décapité par un gentil canif ukraignos ou une méchante machette ruskoff.

En vrai et j’abrège parce que demain y a école et que vous avez depuis longtemps capté le sens général de mon propos , si j’étais n’importe quoi de vivant sur le point de plus l’être, j’aurais trop la trouille et le cafard pour me poser des questions aussi connes. Au moins aussi connes que les coups d’iPhone 13 du prédant Moncra-de-la-Grande-Zozotterie-Cireuse-de-Louboutins-de-Marchands-de-Misère à la grosse Poutine-de-la-Sainte-Cortisone-du-Kremlin-Bicêtre à fond dans son dernier baroud avant l’extrême onction du bois. Toujours terminer sur une note d’humour.

Des fois

Des fois je trouve regrettable pour les gens qu’un si petit nombre d’entre eux aient su apprécier ou simplement pu entendre mes chansons. Certaines sont pourtant de putains de réussites. Surtout les dernières je dirais. Le coach, L’administrateur, Blue, In memoriam, Loser (ah Loser !), écoutables , visables pour nombre d’entre elles sur FYR.

Des fois je me dis qu’il semble également dommage pour les amateurs d’écrivage hors pair qu’un si petit nombre d’entre eux aient su apprécier ou simplement eu vent – histoire de s’aérer le neurone entre deux netflisqueries débilitantes et plus – de petits bijoux stylés publiés sous le nom d’Heffi Grecker  ( « F » + « I grec » + « R » ).  Greffe générale*, Loser au menu*, L’arrière-cour des miracles*, Une mouche dans le potage*Le fameux quatuor de Port-Léon !

Ou, bien sûr, signé Franck Richard, l’incontournable roman parfait qui dit pas « ne pas », le flamboyant Hippocampe Twist** (suite en cours d’écrivage).

Ou enfin, sous la plume de Franck-Yvon Richard, le brillantissime essai-fiction intitulé Les aventures de Moïse (Aux sources de la culture juchrémane), indispensable pour piger le pourquoi du comment au terme de 3 millénaires de vénalité sacrée, l’espèce des bipèdes à poil ras en est arrivée à ce niveau de déchéance darwinienne. Pour l’heure consultable en exclusivité exclusive ici même sur FYR.

Des fois.

Très rarement en fait.

Les 99,99% d’autres fois je m’en tamponne au moins autant que du résultat de la prochaine fumisterie électoranale.

 

* téléchargeable sur Amazon ou FNAC ou toute autre plateforme de téléchargement

** téléchargeable sur Amazon ou FNAC ou toute autre plateforme de téléchargement

futur proche

Je reviens du futur proche. Comme prévisible, Omicron (anciennement gros rhume) a mangé Delta (ex grippe empoisonnée). 61 millions de Phroncés gruyérisés jusqu’au slip, effets-secondarisés comme il faut, quadrillent les locaux à poubelles, les salles de shoot et les bouches d’égout à la recherche du Dr Descartes-Véreux  afin qu’il les éclaire sur le sens profond de son discours sur la méthode du 29/12/21 à  l’Assemblée Nationale :

« …Ce projet de loi a pour objectif de renforcer les outils existants de gestion de la crise sanitaire tout en préservant nos libertés et en garantissant la continuité de la vie du pays [… ] Je le dis, non pas comme une menace, il y a vraiment peu de chances que vous passiez cette fois-ci entre les gouttes. »

Alors si j’en avais pas autant rien à battre de ces querelles de junkies, si j’étais pas uniquement préoccupé (et anéanti) par les horreurs de la Shoah des Animaux qui en nos temps de fêtes sacrées mettent les bouchées doubles (pas drôle), je dirais, non pas comme une insulte , que ce Dr Descartes-Véreux est la plus vile sous-merde dictatoriale à avoir jamais touché une paye de ministre en notre bon royaume de Phronce juchrémane.

Pitié ! Pamourir !

Pitié, docteur Véreux ! Profaisseur Défraîchi ! Prédant Moncra ! Grand vizir Pastex ! Jeuveu pamourir ! Donné-moi ma dose ! Jeusaipu la combientième,  2ème, 3ème, 4ème, 5ème, 6ème, et glou et glou… Dans mon bras, là, voyé, je retrouce ma manche comme vu tous les soirs à le 20h depuis 2 ans ! Comme iels font, toustes les cèlzéceux qu’iels veulent pamourir! Pa avant la Nouël ! Pa avant qu’on a mangé le foie hypertrophié dé zois cirrhosées par leurs gars veurs-euses kiels ont bien du souci avec l’agri pas fier mais que elles (lé zois) elles sont contantes de mourir à la centé de le peuti Jézu que Lui au mouin Il est pas mouru du – pardon de la – connardo. Pitié, jeuveu pamourir avant Pâques ! Pa avant qu’on a croqué l’agno sacré découpai dailicatement par leu-la kraiteur-trice. Remarké cébon aussi une tranche du foua d’un adorable vo qui taite encore sa maman vache qu’elle auci elle est contante qu’on va la dévoré, hein docteur Véreux ? Akoz qu’il nous phaut des protaihines animales, hein  professeur Défraîchi que les autres protaihines sa conte pour du beurre ? Pareil pour le bon sot si çon que le kochon il est heureux et fier de hurlé kan qu’on l’égorge et qu’on le pand par les pattes arrière pandant 1 kardeur pour qu’on peut récolté son çang toucho que le boudin c’est un régal en revenant du kravail quand on né pa un phaignan de chaumeur qu’il a pas voulu hâlé à les cols apprendé le phroncé que Crotte-de-Nez il a dit il faut le renvoyé danse on pays si qu’il est pas dakor avec Jâne Dark. Mais moi, tou de çuite là, jeuveu pamourir du connardo. Jeuveu partir au ski déklanché des avalench et rantré tou bronzai chassé dai faizan à privoizés conplaiteman torchai dan lai boi. Pitié, docteur Véreux, je suis tro précé de reuvoir le Monde d’Avan ! Et surtout jeuveu pamourir ! Disé-le bien à prédant Moncra keu jeu praumé deu veauté pour lui et auci keu jeu lème malgré kon kompran pas bien ce qu’il nous essplik avek sa bouche de travère mais cépa grave et cépa grave non plus kil a plus un poil sur le kayou, enkor mouin que le grand vizir Pastex mais Pastex il cent fou, il veu pa plère aux philles, le grand vizir Pastex. Le  profaisseur Défraîchi et le docteur Véreux ankor mouin.

Maiyeurs veu avou avou et toussa,

Cygné 1 cèlzéceu que pitié iel veu pamourir avan la Nouël (et ci pocible pamourir dutou)