Une croyance foireuse autant qu’armée jusqu’au slip (en l’occurrence l’arrière-garde du délire juchréman) est une fois encore à l’origine d’une tragédie bien dégueulasse.

Il serait donc sage

a) d’affranchir enfin notre pré-humanité souffrante des superstitions mortifères qui l’accablent. TOUTES les superstitions. Notre accession au stade proprement « humain » en dépend.

b) de cesser à jamais de fabriquer des armes, surtout des armes de guerre et, encore plus surtout, de les vendre.

Cela paraît un peu trop simplounet tout ça, n’est-ce pas?

Doit y avoir une erreur quelque part.

Mais où ?

ben…comme ceci, je suppose :

T’as raison, gamin. On nez chénou, con se le dize! Et en bleu blanc rouge de la patrie tank à fer 🙁

« tout » mais pas TOUS

ramons, enfants de l’apatrie

On le répétera jamais assez: les tueurs d’animaux, surtout les charcutiers du weekend et jours de fête sont des merdes sans nom. Tout ce qu’ils s’efforcent de « chasser » (sans la moindre chance de succès) c’est l’évidence de leurs tares congénitales, la conscience rémanente de leur quotidien génétiquement nuisible et surtout la trouille bleue horizon de leur propre (la seule chose propre concernant ces raclures de bidet) fin inéluctable (le plus tôt sera le mieux).

Il était une fois Jean « ancien résistant » Frydman, questionnant son ami Dominique Strauss-Kahn en ces termes (1.40) :

« Une femme de chambre noire, laide, horrible qui arrive, qui ouvre ta chambre, qui s’assoit sur le lit et qui dit « Ah je suis content (sic) de vous connaître »…(borborygmes)…et tu te laisses aller ? Explique-moi ça ! »

Morale :

Un ancien résistant peut être un étron raciste (aux fantasmes douteux) qui s’est jamais regardé dans une glace.