Pour une fois, je ne suis pas , mais pas du tout du tout d’accord avec moi!!!
« Le Coach » est un titre absolument GENIAAAAL!
- Seul, celui qui l’a inspiré est, en effet, affligeant de connerie prétentieuse et, comme il nous l’a encore prouvé hier soir, totalement incapable de bouger son gros cul dans le bon sens, au point qu’ on est en droit de se demander comment Estelle peut continuer à supporter sa tronche le matin au réveil, surtout qu’il doit péter au lit sans même s’excuser. Quant à l’odeur de ses pieds, après qu’il ait inutilement piétiné de long en large au bord du terrain pendant une heure-et-demie, on n’en cause même pas…
- La « Marseillaise » ( écrite à Paris par un dangereux maniaque en proie au délire ) et ses paroles gore à souhait autant que racistes-grave (c’est qui c’est déjà qui parlait sans arrêt de « pureté du sang »?) sont un appel continuel à la violence qui ne mérite même pas d’être sifflé, contrairement à Démonek et son boys band qui – juste retour des choses – la massacrent du début à la fin.
- Les paroles du dernier kino en date des Productions MDB sont, quant à elles, exquises et empreintes d’une rare finesse, contrastant des plus efficacement avec les sujets abordés ( voir 1. et 2. ).
- La musique subtile en est admirablement interprétée par un pianiste nécessaire et suffisant qui nous rappelle que l’esprit rock n’roll flotte rarement sur les fanfares.
- La voix du récitant, suave et langoureuse, nous prouve que la vraie mélodie est ailleurs que sur la portée (il suffit pour s’en convaincre d’écouter C Dion ou P. Obispo).
- Le graphisme délicat de ce chef-d’oeuvre, aérien au point que de gracieux volatiles s’y sentent comme chez eux jusqu’à y faire leurs besoins naturels, est sublimé par une animation sans faille, que l’on dirait faite exprès pour la commémoration les 80 ans de ce cher Mickey.
- Le scénario du « Coach », enfin, plein de suspense et de rebondissements (what else?) inattendus ne se départit jamais d’une clarté lumineuse qu’on aimerait retrouver plus souvent dans « Plus belle la vie » ou « Prison breaks » ( l’indispensable et brillant DJMat, dont le site est une pure merveille, aura noté que je ne critique pas Docteur Maison).
En concusion j’espère avoir prouvé, s’il en était besoin, que je suis capable de reconnaître mes torts et me prie de bien vouloir m’excuser pour une erreur de jugement qui, heureusement, ne remet pas en question la confiance aveugle que je n’ai jamais cessé de me porter au cours d’une vie déjà longue (108 ans d’après certains biographes, qui
font cependant erreur sur mes chromosomes, je crois pouvoir en attester).
Mais… Qui sont ces deux messieurs en blouse blanche qui frappent à mon huis? Je ne peux tout de même pas les laisser dehors par un temps pareil!