Une chance

 

Une chance que les boulange(è)r(e)s sont pas élu(e)s au suffrage universel, on aurait pas souvent des tartines à beurrer. Pareil pour les plombie(è)r(e)s, les chauffeur(euse)s de bus, les aide-soignant(e)s et tout(e)s les professionnel(le)s dont l’utilité fait aucun doute. Par contre les journalistes, pour ce qu’iels ont à radoter, iels peuvent partir en vacances toute l’année, ça en fera à leurs lecteur(e)s. Les député(e)s ? Quel(le)s député(e)s ? Ici sur FYR nous rappelons au prédant Moncra, dit « le Morveux », que déranger les gens deux dimanches de suite afin de, soi-disant, « clarifier » une « situation » qu’il a plus que contribué à embrouiller depuis sept ans qu’il nous gave, sous-entend un minimum de fair-play de sa part, à défaut de suite dans les idées. Contrairement à lui (et bien que conscients du fait que, de mémoire de votant, jamais un élu n’a trouvé moyen de tenir ses promesses de campagne mais ceci est une autre histoire), nous savons que 182 c’est plus que 168. Il y a donc bel et bien un gagnant et c’est pas sa bande de godillot(e)s, à prédant Moncra. Dès lors le Morveux, tu bouges ton corps et tu mènes cette nouvelle arnaque électorale à sa conclusion habituelle (offre du poste de premie(è)r(e) sinistre au parti ayant obtenu le plus de lunettes de cabinet) et basta. Non mais des fois !