Je sais c’est pas gentil mais j’espère que tous les bipèdes à poil ras qui auront, de près ou de loin, trempé dans la shoah des 600 000 agneaux de Pâques de cette année, crèveront la gueule ouverte. Du conardo ou de n’importe quoi de douloureux de préférence. Les braves croyant(e)s qui auront planté leurs fourchettes dans la chair tendre de mes frères et sœurs, les vrai(e)s, pareil.
Solidarité avec les chauves-souris et les pangolins.