Dans la foulée du jeûne des Pâques juive et chrétienne, le 3ème petit cochon juchréman se met à son tour temporairement au régime.
C’est que le salut éternel à la droite du dieu des commerçants («Le marchand sincère et de confiance sera, au jour du Jugement, parmi les prophètes, les justes et les martyrs»*), ça se mérite !
Pareil qu’un bon kashrout à la table du dieu du prêt aux étrangers (« L’Éternel, ton Dieu, te bénira comme il te l’a dit, tu prêteras à beaucoup de nations, et tu n’emprunteras point ; tu domineras sur beaucoup de nations, et elles ne domineront point sur toi. »)**
Ou une hostie arrosée au vin de messe à la buvette du dieu des banquiers (« Il te fallait donc remettre mon argent aux banquiers, et, à mon retour, j’aurais retiré ce qui est à moi avec un intérêt. ***)
Tiens et si vous profitiez du « confinement » (Larousse : « Situation d’une population animale trop nombreuse dans un espace trop restreint et qui, de ce fait, manque d’oxygène, de nourriture ou d’espace ») pour relire ici même « Les Aventures de Moïse » ?
* Sunna
** Torah/ Deutéronome
*** Évangile de Matthieu