Aujourd’hui, dimanche 11 août, « correspondant au 10ème jour du mois hégirien de Dhul-Hijja 1440 H », dans la plus pure tradition juchrémane, la clôture annuelle du « hadj » -pèlerinage rituel à La Mecque – aura coûté la vie à des millions de moutons. Le sang des malheureux, répandu en offrande à leur « dieu de miséricorde », est la preuve sacrée de la ferveur de « croyants » musulmans qui, après les « croyants » juifs et les « croyants » chrétiens, voient dans ce nouvel épisode de la Shoah des Animaux un rappel du sacrifice d’Abraham. (lire ici « Les Aventures de Moïse » / « Moïse lave plus blanc« )
Je vous épargnerai les habituelles photos d’égorgement ainsi que les bandes son des vidéos d’égorgement. Vous savez tous ce qu’est un égorgement, le sang qui gicle et le mélange de gargouillis et de hurlements de terreur et de souffrance de la victime. Certains d’entre vous seraient même capables d’en concevoir une irrépressible érection.
Joueurs de couteau musulmans mais aussi « shohets » juifs, as de la « shehita » qui « rend les animaux propres à la consommation alimentaire » mais aussi braves charcuteurs chrétiens, grands saigneurs de cochons devant l’Éternel, je refuse de tout mon être une quelconque idée d’appartenance à la même espèce que vous.
L’Aïd el-Kebir (Eid el-Adha ou Tabaski), à l’image de la Pâque juive ou chrétienne est un jour de deuil et de négation de toute forme d’amour altruiste ou de simple humanité.
Bon appétit, les Juchrémans 3.0.