Archives mensuelles : octobre 2018

P.A.L.

 

À

Quand je me suis « inscrit » sur Twitter afin de promouvoir le travail de mon ami @HeffiGrecker et, accessoirement, militer en faveur du #livrenumerique, je n’ai pas compris tt de suite le sens de l’acronyme PAL. Maintenant je sais que cela signifie, accrochez-vous…

« PILE A LIRE » !!! …PILE A LIRE !!! On se croirait revenu au bon vieux temps du collège. La liste des bouquins au programme du BEPC, ha ha! Sauf que là, c’est le « blogueur » de ses 2 qui s’inflige un travail quasi herculéen (dans sa tête). De l’ordre du sacrifice ! …Du devoir culturo-humanitaire, ha ha ! Mais putain ! Lire, c’est pour se délasser après une journée de VRAI boulot ! Ou avant, pour se donner du courage ! Ou mieux : pendant, si on a la chance de bosser en télétravail sinon c’est quand même un peu chaud (et malodorant pour les plus surveillés). Bouquiner c’est pas une œuvre humanitaire à la #VendrediLecture ( coucou les vieilles choses catholiques !)! Bouquiner, c’est une chance !

C’est comme écrire ! C’est pas pour se faire de la thune quand ton  blog intéresse vaguement 2 pékins qui se battent en duel et un 3ème qui compte les points, ha ha ! En tous cas, merci au blaireau de trop et sa « PAL » (qu’il peut se mettre là où nos ancêtres se la (le) carraient). Il m’aura permis de me défouler sainement après les horreurs que je viens d’entendre sur @franceinfo (l’émission de 20h du 23/10/18), dans la bouche de petites meufs qui, pourtant, ont pas l’air trop con ni trop méchant.

Ah les salopes! Si j’étais un lapin, un biche ou un sanglier, je me pointerais direct chier sur leurs petits Perfectos similis tellement tendance (y en a partout sur le PAF). Ah, les salopes et leurs discours « de bon sens » selon lesquels on a besoin de ces grosses merdes d’assassins d’animaux pour préserver nos terroirs, le tout saupoudré de petits rires de connaisseuses des choses de la vie. Ah, les connes ! Pourquoi elles se récupèrent pas une PAL d’occase, histoire de nous faire des vacances ?

Bon c’est tout pour ce soir, je retourne à ma compile Thin Lizzy. Good night, les pol’n’rollers !

Ps – cet article est un genre de duplex avec le tweet à rallonge que je viens de poster sur Le Nouveau Polar

LOSER AU MENU (2)

Faut qu’on vous dise, « Loser au menu » c’est, dans l’ordre de ses qualités intrinsèques ( ouaip, comme le petit blanc qu’on se jette au zinc pour attaquer la matinée) :

Un des meilleurs polars de toute la production française depuis Manchette et Prudon. À la noirceur parfois systématique de ces deux géants, Grecker préfère une certaine légèreté de traitement  (soigneusement  parfumée à l’arsenic d’un humour imparable qui le rapprocherait plutôt de Westlake, voire Lansdale, si on a le droit de traverser l’Atlantique).

Un ovni du merchandising.  Ce polar n’a , à dessein, été défloré par les yeux prétendument avertis du moindre pro de l’édition. À l’heure d’internet et de ses interactions à la fois brouillonnes et génératrices de « liens », pourquoi s’encombrer de parasites ? Heffi Grecker a la chance de ne pas vivre de son écriture. Il a la chance de pouvoir manger à sa faim (pas de viande), dormir dans un bon lit et, éventuellement, se soigner sans avoir à recourir à l’obole, dans le meilleur des cas ridicule, d’une maison de proxénédition traditionnelle.

« Loser au menu » c’est un polar « du producteur au consommateur ».

Sauf que son auteur n’est pas équipé pour faire les marchés. Alors son deal, excellent pour vous, ami(e)s lect(eurs) (rices) (2,99€ !!!) , un peu moins pour lui mais, selon son expression favorite, il « s’en branle », il vous le propose en format numérique uniquement (pitié pour les arbres !). Rappelons aux étourdis que le prix d’une liseuse est vite amorti par l’économie faite sur les bouquins ensuite (à condition que le lobby des proxénéditeurs – toujours eux – n’aille pas poser sa grosse pogne crochue sur les e-books comme, depuis la nuit des temps, sur la production papier).

On peut également lire « Loser au menu » sur son ordi, sa tablette ou son smartphone.

Des extraits, vous en aurez. franckyvonrichard.com, @nouveau_polar et #PolarNum sont là pour ça. Mais on va attendre un peu. Pour l’instant, grâce à Librinova  et à ses 200 e-librairies et plateformes de distribution partenaires , en bons petits voyeurs près de vos sous que vous êtes, vous pouvez toujours déguster quelques chapitres de « Loser au menu »  gratos.

Bonne lecture. Ce n’est pas un souhait mais une certitude.

Le Nouveau Polar

Des contraintes de temps m’obligent à espacer de plus en plus mes interventions sur franckyvonrichard.com . Rassurez-vous, Son Emperozité n’a pas fini dans prendre plein son vilain muzeau. Pareil pour les djihadistes beaucerons et leurs potes tueurs d’animaux. C’est juste qu’on peut pas être partouze à la fois et que, pour l’instant, j’ai tendance à défendre les causes qui me sont chères sous la forme de « tweets », mieux adaptés à mon agenda. Conclusion, je recommande aux personnes susceptibles de s’intéresser aux fruits de ma gamberge, de se rendre sur https://twitter.com  où, épaulé par une poignée de fidèles camarades, je pilote tant bien que mal Le Nouveau Polar , page à but non lucratif (what else ?) spécialisée dans la diffusion de liens de référence vers des polars au format numérique. Curieusement, on en profite pour casser tous les connards qui nous tombent sous la main. Dont Son Emperozité, les djihadistes céréaliers et les tueurs d’animaux. N’hésitez surtout pas à nous rejoindre, c’est gratos et ça nous fera plaisir.

Bisous, Franck.