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permis d’être une grosse merde

Fleurons de notre belle Juchrémanie du 21ème siècle, dans la catégorie « Terroristes », devançant d’une courte hure les Céréaliers Scélérats du Djihad Beauceron, s’inscrivent en nombre (1,2 million de Phroncés (on est les champions, on est les ch…♫)  pour 980 000 Espingouins et 700 000 Ripalous) …les Charcutiers du Weekend !

Alors sachez que, aux dernières nouvelles , ces gros merdeux pleins de cartouches qui, heureusement s’autodétruisent en masse dès que l’occasion se présente ( nuit, brouillard ou simple règlement de compte maquillé en accident), sachez que la lie des bipèdes à poil ras, la honte des mammifères à sang alcoolisé, le rebut ultime de la bêtise crasse faite contribuable va – sous l’impulsion morbide d’un pourfendeur sélectif  de tyrans triés sur le volet– se voir RÉDUIRE DE MOITIÉ sa participation financière annuelle au massacre odieux de tout ce qui se sauve devant un flingue de buffalo débile en transes.

Franchement, ce pauvre prédant de la raie publique ! Heureusement que ma vieille télé ne reçoit plus TF1-des-haricots ! Faute de quoi, jeudi dernier, un reste de masochisme congénital m’eût persuadé de me farcir la séance  d’hypnose à 1 € du morveux au Jipéperno-le-Demeuré-de-Treize-Heures.

On m’a raconté la salle de classe, les drapeaux, la bouche en cul-de-poule et les accroche-cœurs de la starlette en voie de calvitication déclarée. On m’a narré le jeu de scène viril du dompteur de vieillards surexploités pour le bien de la nation. Comme si j’y étais, j’ai ressenti la mâle assurance de la mouche du coche de Donald en pleine tergiversation pour ce qui est de faire expier le Vachard-des-Salades caché dans le slip de Vladimir. (À propos,  hier matin, j’ai appris que, finalement, non sans avoir, à cors et à cris, dûment prévenu les intéressés et leurs amis torchés à la vodka, notre demi portion prédantielle, a filé le train du psychopathe à moumoutte et méchamment rafalisé un marchand de hot dogs et deux toiletteurs pour chien, soupçonnés de fabriquer des boules puantes dans la banlieue de Damas.)

Mais, en vérité je vous le dis, je me cogne de ce genre d’embrouilles, dans la mesure où elles ne concernent que la Juchrémanie bipédestre. Ce qui m’importe, à mézigue, c’est qu’on ARRÊTE de TORTURER LES ANIMAUX.

Tu entends, mon prédant ? Pour commencer, finies tes âneries de chasse à courre. Ensuite tu t’excuses publiquement d’avoir étourdiment cédé à ces gros cons  et tu triples les cotisations des charcutiers du weekend. En retour, et pour t’encourager à arrêter de baffrer de la charogne, je ferme les yeux sur tes magouilles  fiscales, tes guéguerres à géométrie variable , SAV pitoyable du commerce florissant d’engins de destruction sur lequel repose notre PIB d’assassins tranquilles.

Tiens, et puisque c’est toi, je te refile un lien qui te permettra de te changer les idées, entre deux conneries prédantielles . C’est un chouette petit polar, concocté par mon pote Heffi.  « Greffe générale« , ça s’appelle.