Archives mensuelles : avril 2018

sex and politics

 

Mon désintérêt pour tout ce qui ne touche pas à la protection des animaux va grandissant, m’entraînant à négliger mes obligations de gros niqueur sur ce site formidable. Je vous demande de ne pas m’en tenir rigueur et continuer à mettre à jour votre lecture des articles parus sur FYR ces dix dernières années, comme le temps passe. Mais, de toutes façons, personne ne suit mes conseils. Ainsi ne vous avais-je point exhortés à  fumer au plus vite votre carte d’électeur , excellent carton de joint au demeurant ?

Et voilà, vous êtes quand même allés voter, en mémoire de vos ancêtres qui avaient donné leur vie pour etc…

Et voilà, vous navet que ce que vous méritez : un branleur de pédant de la raie publique qui fait honte à ses parents, à son pauvre clebs qu’ il eût mieux fait de laisser adopter par un maître dont le quadrupède n’eût pas eu à rougir, et à sa femme qui, d’accord, n’a pas inventé l’eau tiède. Assez cependant pour s’apercevoir que son mari lui préfère les  grands cow-boys à moumoute qui le prennent par la main (pour commencer) entre deux portes d’une maison aussi blanche que le trou du cul d’un âne.

Manuléon, je te le dis « en te regardant dans les yeux », selon ton expression favorite : ta pauvre vie sexuelle n’intéresse personne mais un minimum de gingin n’a jamais nui à quiconque non plus. On ne mélange pas impunément sexe et  politique. Tôt ou tard, les quelques instants de bonheur indicible vécus dans les bras de l’envoûtant Donald, très cher tu paieras.

Quai des Agrumes

Quant à vous, innocents blaireaux, la prochaine fois m’écouterez. Ou pas.

permis d’être une grosse merde

Fleurons de notre belle Juchrémanie du 21ème siècle, dans la catégorie « Terroristes », devançant d’une courte hure les Céréaliers Scélérats du Djihad Beauceron, s’inscrivent en nombre (1,2 million de Phroncés (on est les champions, on est les ch…♫)  pour 980 000 Espingouins et 700 000 Ripalous) …les Charcutiers du Weekend !

Alors sachez que, aux dernières nouvelles , ces gros merdeux pleins de cartouches qui, heureusement s’autodétruisent en masse dès que l’occasion se présente ( nuit, brouillard ou simple règlement de compte maquillé en accident), sachez que la lie des bipèdes à poil ras, la honte des mammifères à sang alcoolisé, le rebut ultime de la bêtise crasse faite contribuable va – sous l’impulsion morbide d’un pourfendeur sélectif  de tyrans triés sur le volet– se voir RÉDUIRE DE MOITIÉ sa participation financière annuelle au massacre odieux de tout ce qui se sauve devant un flingue de buffalo débile en transes.

Franchement, ce pauvre prédant de la raie publique ! Heureusement que ma vieille télé ne reçoit plus TF1-des-haricots ! Faute de quoi, jeudi dernier, un reste de masochisme congénital m’eût persuadé de me farcir la séance  d’hypnose à 1 € du morveux au Jipéperno-le-Demeuré-de-Treize-Heures.

On m’a raconté la salle de classe, les drapeaux, la bouche en cul-de-poule et les accroche-cœurs de la starlette en voie de calvitication déclarée. On m’a narré le jeu de scène viril du dompteur de vieillards surexploités pour le bien de la nation. Comme si j’y étais, j’ai ressenti la mâle assurance de la mouche du coche de Donald en pleine tergiversation pour ce qui est de faire expier le Vachard-des-Salades caché dans le slip de Vladimir. (À propos,  hier matin, j’ai appris que, finalement, non sans avoir, à cors et à cris, dûment prévenu les intéressés et leurs amis torchés à la vodka, notre demi portion prédantielle, a filé le train du psychopathe à moumoutte et méchamment rafalisé un marchand de hot dogs et deux toiletteurs pour chien, soupçonnés de fabriquer des boules puantes dans la banlieue de Damas.)

Mais, en vérité je vous le dis, je me cogne de ce genre d’embrouilles, dans la mesure où elles ne concernent que la Juchrémanie bipédestre. Ce qui m’importe, à mézigue, c’est qu’on ARRÊTE de TORTURER LES ANIMAUX.

Tu entends, mon prédant ? Pour commencer, finies tes âneries de chasse à courre. Ensuite tu t’excuses publiquement d’avoir étourdiment cédé à ces gros cons  et tu triples les cotisations des charcutiers du weekend. En retour, et pour t’encourager à arrêter de baffrer de la charogne, je ferme les yeux sur tes magouilles  fiscales, tes guéguerres à géométrie variable , SAV pitoyable du commerce florissant d’engins de destruction sur lequel repose notre PIB d’assassins tranquilles.

Tiens, et puisque c’est toi, je te refile un lien qui te permettra de te changer les idées, entre deux conneries prédantielles . C’est un chouette petit polar, concocté par mon pote Heffi.  « Greffe générale« , ça s’appelle.

Ô joie, c’est dimanche !

Grâce à ces pourris de planteurs de pognon en graines, chaque jour qui passe est une insulte au printemps. Les terroristes beaucerons ont déclaré la guerre à la vie. Leurs poisons, épandus de long en large et en travers, éparpillés par les vents, rayent peu à peu de la carte tout ce qui fait pas de fric . Les abeilles ? Inutiles. Les oiseaux ? Inutiles. Les insectes ? Inutiles. Les créatures du sous-sol qui amendent la terre et la font respirer ? Inutiles.

Je vous fais le pari que, lorsque leurs manips immondes auront fini par rendre leurs hectares martyrs complètement stériles, nous verrons ces imbéciles suicidaires se muer en prospecteurs de gaz de schiste.

Sinon, grâce à une vieille starlette de France inter en semi-retraite qui revient nous bassiner le weekend, on a appris, au petit-déj’, qu’un président de la raie publique est terriblement soumis au stress. On en a rien à péter. Par contre, le fait qu’on torture des souris pour arriver à cette brillante conclusion, prout prout et reprout.

Avec tout ça, on va être en retard pour la messe.

l’hôpital et la charité

Il y a des titres de journaux qui mettent de bonne humeur, moi je vous le dis. Ce matin c’est le Parisien  qui nous aide à sourire d’une actualité qui, comme d’hab,  lundi résurrectionnel ou pas, inciterait plutôt au désespoir. Merdogan-de-toilette qui traite Miaoumiaou de terroro !!!

 

 

 

 

 

Le boucher halal qui s’en prend au charcutier casher !

C’est pas ce matin que je vais regretter d’être végétarien.