Bon alors, une fois encore, la désinformation médiatique a fait du dégât. Vous me direz, les élections en Italie , on samba un peu beaucoup les roustons. Pour la simple raison, évoquée mille fois sur FYR, que, en Italie comme ailleurs, aujourd’hui comme hier, on n’a pas à choisir entre une baffe et un coup de pied au cul.
Le chantage pathétique à la mémoire de nos aïeux qu’ils sont mourus pour qu’on ait le droit de se faire démocratiquement sodomiser n’y change rien.
NI baffe, NI coup de pied au cul = ABSTENTION
Hier, les Ripalous ont choisi , à 65%, de s’abstiendre de choisir. À mon navire, c’est là ce qu’on doit, EN PRIORITÉ retenir de l’événement, non ?
Non. Ce matin à la radio, en une heure de somnifère pseudo journalistique, je n’ai entendu qu’UNE SEULE FOIS mentionner le décompte plus que significatif des refus de participer à l’arnaque transalpine d’hier. TOUS les pourceautages donnés afin de démontrer les soi-disant progrès des soi-disant « populistes » (kèksèksa , un « populiste » d’abord ?) sont BEAUCOUP TROP DISCRÈTEMENT calculés sur la base des 35% de pigeons qui ont volé au secours de la pseudo démocratie à l’abri de laquelle une poignée de petits malins leur font les poches. On notera au passage qu’italienne ou phronçaise, la Juchrémanie s’en tient à ses statistiques.
Conclusion, les amnésiques professionnels qui se targuent de nous informer, il ne faudra pas qu’ils viennent chouiner qu’ils sont injustement vilipendés par la Grande Confrérie des Escrocs et Menteurs Politiques ( ces derniers figurant à merveille l’hôpital qui se moque de la charité).
Morale, à l’image des politiciens, les journalistes sont des merdeux. Leurs nouvelles fraîches sentent le pourri. Ne leur accordons pas le moindre crédit. Ni la moindre attention.