Décidément la famille Pileux du Museau ne sait plus où donner des poils.
Que de sueur! Que d’épuisement pour rester au top de la frime!
Après la harassante « montée des marches » vers les zoneurs et la glouare pelliculaires (horripilation vol5), le petit peuple des starlettes post modernes s’en va déjà, de ses mignons petons nikés, battre la terre ingrate de Relents Gravos.
Sous les regards enraybannés du gratin beaufinois désœuvré en quête de sensations mortes,
de barbants barbus de 3, 6, 9 jours et plus vont, d’interminables après-midi mondains durant
ahaner sans relâche leurs désirs de conquête,
infatigablement scrutés, sur le ton de la confidence éclairée, par de savantes commères radiotélévisuelles
à la tronche de cake réglementairement hérissée de ses redoutables tiges pilaires (mais, Yavallah soit loué, ça s’entend pas « à l’antenne »).