Un accès de gâtisme, une ménopause mal vécue, une acné tardive ou tout simplement la nostalgie des temps héroïques et hop, encouragés par le gros machin à promesseset son petit vizir colérique,
on avait ressorti les torche-culs illusoires d’une pseudo « civilisation » en danger de voir ses soi-disant « valeurs » bousculées.
Les puceaux du neurone, ayant senti frémir au fond de leurs kangourous tricolores comme un ersatz de libido guerrière, ils avaient cru bon de l’exhiber fièrement jusque sur leurs profils grecs.
Et j’avoue qu’un certain sentiment de solitude m’avait effleuré.
Mais ce soir ça va mieux merci.
Constat rassurant, il existe encore des gens bien. Des gens libres, conscients du merdier dans lequel nous plongent les dealers de mort , poissons pilotes d’une poignée de banquiers désespérément accrochés à leur préhistoire juchrémane ou assimilée.
Bien sûr les pipeurs médiatiques vont encore assaisonner la salade de façon à mettre les exactions de la flicaille sur le compte d’ « individus cagoulés violents », de graines de terroristes « indignes » que leurs mères devraient avoir honte de ce qu’elles ont pondu là.
Caisse que ça peut foutre? BRAVO LES MECS ! Et encore merci pour cette bouffée d’air frais dans une connerie fumigène d’un bleublanrouge de plus en plus irrespirable.