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fumier et œuf pourri

 

Avec toutes ces commémémorations on sait plus où donner de la tête de nœud. François Gouda, égal à lui-même, bedonne de droite et de gauche pendant que Sarkoleptik bidonne de gauche à droite. La reine Ma Pine expose sa blonditude de souche du nord au sud tandis que, du sud au nord, Juppépé-le-meilleur-ventre-mou, Fion Puant, Mélenchons-les-serchons-et-les-torviettes et tous les autres malpoliticiens poil au siens larguent leurs chrysanthèmes là où il reste encore un centimètre carré de surface largable, façon Rosetta, la nouvelle fiancée de l’Europe-en-marche qui nique la mère des Borninzeyouécés.  Hé, c’est que nous on explose pas nos zéfus au décollage.  Au contraire, tellement qu’on est balèze on arrive  à parachuter des bouts de ferraille rouillée sur des comètes qui sentent l’œuf pourri. Même que ça nous aide à mieux comprendre c’est d’où qu’on vient et surtout c’est pourquoi qu’on pue autant. Ce qui nous ramène à Dieu , aka « Yaveh longtemps » , dit « Allah soupe s’il en reste » et tous ses avatars Hindouchinois que j’ai pas le temps de chercher leurs noms vénérés dans le crottin mondain, Dieu grâce à qui j’ai l’impression qu’on va encore passer un Noël sympa à la ferme. Bon et, avant d’aller prendre ma douche, tank à commémémorer nos défunts les plus odorants, je propose de dédier cette vignette de saison à la mémoire du chasseur de tigre inconnu:

 

chasse