Archives mensuelles : octobre 2014

Momo le schizo

momo

« Je crois que cet homme était un schizophrène en puissance ( 🙂 ), et l’un des individus les plus barbares dont j’aie jamais pu lire l’histoire », aurait déclaré Christian Bale à propos du gars Moïse que Ridley Scott l’a chargé d’incarner dans son dernier film, « Exodus ».
C’est à croire que tout le monde lit Les Aventures de Moïse, ces temps-ci ! Alors ne soyez pas à la traîne de l’actualité et profitez honteusement de la chance que vous avez de ce que ce monument de la littérature post moderne soit toujours en lecture gratuite sur FYR.com!

décollage

margerie

Claude Piéplu (faut que j’arrête d’appeler Hollande comme ça, c’est vraiment pas sympa pour son talentueux sosie) a encore perdu une belle occasion de se taire. Selon lui Christophe de Margerie, dont le jet privé vient d’embrasser un peu trop passionnément une déneigeuse moscovite, « défendait avec talent la réussite de la technologie française à l’étranger ».
Oui, et aussi la beauté sauvage de nos chères côtes bretonnes. Hors de prix, dirais-je, au moins question nettoyage. Souviens-toi, ma mie de l’Erika joli…

erika

Bizarrement, la mère des enfants de François Piéplu, pourtant recyclée à l’arrache dans la cause écolo nous fait une crise d’amnésie sur le sujet et déclare sans rire qu’avec le gros et gras moustachu goudronneur de goélands « on pouvait parler sans tabous* de l’avenir énergétique du pays et de la planète », même que l’englueur de bigorneaux, croyez-le ou pas, il «cherchait à imaginer le futur ». Eh ben, sur FYR.com, aujourd’hui on est drôlement content pour le futur.

 

* vous avez dit « tabou »? Comme c’est tabou, hein Cromacron?

complexité

Il m’arrive d’aller faire un tour sur Twitter. Les hasards de l’affichage des tweets sont parfois troublants:

hasard

Je propose que Jean Tirole montre l’exemple et participe à la dé-complexification nécessaire en remettant l’intégralité de son jackpot aux ménagères burundaises et érythréennes qui ne trouvent pas tous les jours de quoi remplir leurs cabas aux étals de marchés effectivement  fort complexes.

Mais, après tout, quand on a vraiment faim, on trouve toujours un moyen de manger. La preuve: