Didi et la continuité

nains

A l’issue de l’avant-dernière prestation « amicale » pré-Rio du troupeau de mythomanes analphabètes répondant (pour les plus doués) à l’appellation puissamment imagée de « Bleus », Didier Deschamps a couiné, dans son sabir inimitable d’Auguste moyen s’adressant aux « petits éléphants », que sa bande de travelos immatures étaient « dans la continuité de ce qu’ils ont fait ».
Eh ben, une fois n’est pas coutume, on va être d’accord avec un crétin: les « Bleus » de 2014 sont aussi ridicules, ennuyeux, prétentieux, en un mot  « chiatiques » qu’ils l’ont toujours été, toutes générations confondues.  Ça doit tenir au fait que quand on s’acharne à vouloir transformer un chouette petit jeu de cours d’école en pompe à dollars sordide livrée aux appétits dévorants d’innombrables multinationales misant sur le chauvinisme sinon la xénophobie du blaireau post moderne, on peut pas pas s’attendre au pire.

polémique entre vétérans
polémique entre vétérans

Et, Didi l’Abruti, dis-toi aussi que cette « continuité » s’applique aussi aux sangsues dans ton genre. Il me revient en mémoire un compliment sincère qu’à l’occasion de la dernière coupe du monde, FYR.com adressait à un certain Raymond Domenech qui, à l’époque, occupait la noble fonction aujourd’hui tienne :

«…t’as raison Raymond et t’es pire que pire que le pire des branleurs et tu le sais et tout le monde le sait et ta reum pleure tous les jours et ta meuf rase les murs et tes chiards auront honte de toi toute leur vie, qu’un sang impur abreuve tes sillons connard et on se déguste un petit « Le Coach »

Alors, t’inquiète, Didi ! …T’as raison aussi !…Et si on  se dégustait un petit « Le Coach » ?