A mes ami(e)s et aux autres, largement plus nombreux, je souhaite de bonnes vacances. J’ai moi-même l’intention d’en prendre. Ne sais quand reviendrai. Peut-être le jour où la bonne humeur inextinguible qui, pour une raison quelconque, s’est depuis quelques temps emparée de moi, aura de nouveau cédé au besoin d’aider à soulever les montagnes de conneries qui nous barrent l’horizon. En attendant, bambou tout le monde et à la revoyure!