Ô Toua qui illère souar, tente à trisse frivole
parking mon corps menu mourit sous des paroles
suggestâtives au point que ceu matin-z-encore
jeu meu deumande en vin céhou kil est leu nord
et cékoi sur mon drap çaite étranje auréole
Toua ki me poursuivas jusko trait fond des raives
queue Morphlée jénéreuze ma corde chat queue nui
eau rat tu point pitre yeah du reste de ma çaive
ouf eau dratil, hélas, en corse à lire mon lit?
Une réflexion sur « paulussion nocturne* »
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cé trai bô