z’ont planqué leur quat’quat’s
dans l’ tit bois adéquat
pissé en sifflotant
et armé leurs panpans
puis secouant leurs bedain’s
ont piétiné la plain’
et les champs moissonnés
leur gloire avait sonné
z’ ont de tout’s tit’s quéquett’s
du vid’ plein leurs casquett’s
ces craignos de septembre
nous font garder la chambre
au détour du sentier
afin d’ rester entier
promeneur téméraire
veille à t’ jeter à terre!
maladroits, fort crétins
partout voient des lapins
ces craignos de l’automn’
nous font chier comme personn’
z’ont rejoint leurs quat’quat’s
dans l’tit bois adéquat
rattaché leurs clébards
et débouché l’ Ricard
merci ! ça fait plaisir !
une bombe peut en cacher une autre
en parlant de fumiers et de marchands d’armes, que penser du vieux fou milliardaire qui fait un doigt d’honneur à la république sous les applaudissements du parti du nain vendeur de rafales ?
Je sens que je vais faire interdire ce site…
et dans ma ville pas de cantoche pour les enfants de chomeurs ! et puis quoi encore bande de fils de branleurs va !
j’adore les animaux et pourtant ils n’ont pas confiance en moi. j’en veux un peu à mes parents.
euh … je vous demande de vous arrêter de vous en prendre à mon père … c’est moi le pédé !
oui mais c’est moi qui lui ai tout appris à ce jeune con
‘lut tout le monde! Pas trop le temps de discuter. A +
Menu pour la Saint Hubert : quelques camemberts de l’année dernière…