z’ont planqué leur quat’quat’s
dans l’ tit bois adéquat
pissé en sifflotant
et armé leurs panpans
puis secouant leurs bedain’s
ont piétiné la plain’
et les champs moissonnés
leur gloire avait sonné
z’ ont de tout’s tit’s quéquett’s
du vid’ plein leurs casquett’s
ces craignos de septembre
nous font garder la chambre
au détour du sentier
afin d’ rester entier
promeneur téméraire
veille à t’ jeter à terre!
maladroits, fort crétins
partout voient des lapins
ces craignos de l’automn’
nous font chier comme personn’
z’ont rejoint leurs quat’quat’s
dans l’tit bois adéquat
rattaché leurs clébards
et débouché l’ Ricard