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Slow de mes 2
Un genre de slow d’mes deux…
vérole et slow de mes 2
Salut les migrants!
Dare-dare passque, d’accord il y a longtemps que j’ai pas dit de mal de l’autre truie, mais surtout passque, à c’t’heure, on travaille d’arrache-pied, avec DJMat, à vous mettre en ligne le premier kino d’Efucéka, notre nouvelle SARL, « slow de mes 2 », ça s’appelle. Retenez-bien ce titre car vous danserez dessus tout l’été.
Bon alors, aujourd’hui, l’autre truie a pour nom Eric Besson (Mc Hulott, je ne m’en lasse pas!). Ce n’est pas la première fois que j’évoque son cas, à ce pourri de chez pourri. Qu’il soit un traître à son parti ne me cause pas trop de gêne, encore moins de surprise, vu que le PS est en passe de devenir – coucou J. Langue (de pute)! – la pouponnière à retourneurs de veste la mieux fournie de ce côté de la galaxie.
Mais qu’il soit un des (hélas, innombrables) représentants d’une pensée absurdement rétrograde faisant délibérément obstacle au – si ténu soit-il, si frêle, si improbable – début de commencement de la fin de la préhistoire de l’humanité, me file de l’urticaire.
Alors je me gratte: Besson-Monfroc ( ça change un peu), tu es une vérole. Tu es pire qu’Hortefeux. Tes agissements en vue de plaire à ton nouveau minuscule maître et faire souffrir un peu plus les souffreteux qui, nuit après nuit, été comme hiver, essaient, à leur manière sournoise, de faire la Manche, espérant gagner enfin leur Jérusalem merdeuse où ils seront exploités comme il se doit mais en anglais, c’est plus rock n’roll, sont dignes de cette bonne vieille Gestapo de nos films du dimanche soir.
Mardi dernier, aux alentours de Calais, 180 personnes non-françaises – pardon: 180 « migrants », tu me rassures! – ont été arrêtées et placées en garde-à-vue.
Les associations d’aide aux réfugiés – pardon: les clubs de rêveurs irresponsables – jugent les nouvelles mesures vieilles comme le monde prises par Besson-Monslip totalement inutiles puisqu’elles ne font que déplacer le problème: une jungle de perdue, dix de retrouvées.
« Il s’agit de déplacer les réfugiés et non de les faire disparaître, empêcher les migrants de venir à Calais serait impossible. L’Etat cherche donc à atténuer leur visibilité dans l’espace urbain, en particulier dans les endroits où ils gênent, comme la jungle, située à côté d’une zone industrielle où des patrons se sont plaints », explique Smaïn Laacher.
Qui ça?
Avec un nom pareil tu m’étonnes qu’il dise des conneries commaces!
Besson-Monstring est encore trop bon, moi je dis!
Ah, ils nous foutent la jungle jusques-en notre belle terre de France? Eh ben y a qu’à organiser des safaris. Ce doit être chou une petite descente-de-lit en peau de migrant, hein le nain?