Les Juchrémans, je crois que je fatigue. Plus vous vous faites arnaquer, moins vous cherchez à comprendre. Plus vous êtes jeunots dans le business, plus c’est pire, plus votre seule préoccupation est de faire du blé sur moins malin que vous ou – encore plus fort – sur vous-mêmes. Que vous soyez d’ascendance « ju » (quelques longueurs d’avance aux inventeurs de la manip, normal), « chré » ou « mane », la maison-mère peut se frotter les mains. « Prêt à intérêt », « banques » ou « murabaha », vas-y que je t’embrouille ! Pour vous « guider », vous « éduquer », les psychopathes sanguinaires que vous continuez à plébisciter, tellement on vous a décérébrés ces trois derniers millénaires, ont eu le temps de peaufiner leurs discours. Allons z’enfants, on est cheuh nous, Dieu c’est notre pote et toutes les salades habituelles pour démolir l’ « étranger », le « pas pareil ». Vous vous rendez compte que, par le vaste monde, chaque « démocratie » élit démocratiquement son dictateur démocratique qui envoie démocratiquement mourir ses électeurs dans des « guerres économiques » incompréhensibles ou mieux – alléluyinchallah parce que là ça fait marcher l’industrie d’armement démocratique – sur des champs de bataille démocratiques plus ou moins proches de leurs « chez eux » pendant que la météo démocratique s’égosille à lancer des appels désespérés à un minimum de retenue démocratique ? Nan, je crois que je fatigue. Heureusement j’ai fini d’écrire démocratiquement (et de publier sous le regard ailleurs des éditeurs démocratiques) « Homo juchrémanensis » qui vous explique tout ça en détail.
PS – Due to my democratic fatigue, I ask my English-speaking democratic visitors to translate this article themselves. There are many free democratic AI tools that can do this. But of course, I recommend that they read the democratic English edition of
first!